Weirdmojis : du rond à la tronche
Je dessine comme je respire : d’un trait. J’ouvre Aseprite, je fais un rond, puis je laisse la main dériver. Au bout d’un moment, ça devient une petite tête bizarre. Parfois mignonne, parfois pas — souvent les deux.
Pourquoi le pixel art ? Parce que je ne suis pas un as du dessin académique. Mon truc, c’est le cartoon et la contrainte. Pas de tablette graphique : je préfère le feeling papier et la simplicité des carrés lumineux. Un cadre réduit, des idées qui sortent vite.
Oui, je suis un peu jaloux de ma sœur aux Gobelins. Mais au lieu de me bloquer, ça me pousse à avancer à ma manière : petits formats, improvisations, pas de grand concept. J’ouvre un nouveau canevas, je gribouille, et ça donne Weirdmojis — une collection d’émotions tordues, assumées, au pixel près.
J’ai même pensé à en faire des NFTs. J’ai essayé, mais c’est pas mon terrain. Pour l’instant, la collection vit tranquillement ici :
